Cultes officiels de Korantie


Chaque cité-État korantienne possède son propre panthéon de divinités que ses citoyens sont censés honorer. Ces panthéons sont plus ou moins semblables d’une cité à l’autre, et comprennent une sélection de dieux de la Cour Céleste commune à tous les Korantiens. Toutefois, chaque cité met en place ses propres cultes, ouverts seulement à ses citoyens, avec des conditions d’adhésion ou des obligations spécifiques : le culte d’Anayo à Himéla différera du culte d’Anayo à Agissène. Les cultes officiels jouent un rôle fondamental : chaque rouage de l’État et de la communauté fonctionne comme un culte lié à sa divinité tutélaire. Des informations supplémentaires sont prodiguées dans le chapitre sur les cultes.

La Cour céleste


Les korantiens vénèrent un panthéon immuable de dieux qu’ils nomment la Cours céleste. Chaque korantien a au moins entendu parler de ces dieux.


La Trinité civique d’une cité-État


Les trois cultes clés d’une cité sont ceux de la déesse tutélaire de la cité, vénérée par les femmes ; de son mari Anayo, vénéré par les dirigeants de la communauté et dieu du commandement, du gouvernement, de la sagesse et du savoir ; et de Torthil, vénéré par les hommes et dieu de l’agriculture et de la guerre. Parfois, Torthil est remplacé par une autre divinité, si celle-ci reflète mieux les préoccupations des citoyens mâles.

Autres cultes répandus


De nombreuses autres divinités jouent un rôle important dans l’État : un culte peut exister en leur honneur ou elles peuvent être représentées comme des sous-cultes d’un membre de la Trinité.


Cultes uniques dans toute la Korantie